
La lecture du texte du doyen Mohamed Ould Saleck, président du Conseil national de l’UFP, relève moins d’une réflexion scientifique que d’une plaidoirie partisane, dictée par la fidélité politique plus que par l’exigence intellectuelle. Sous couvert d’analyse, l’auteur s’emploie à défendre un héritage idéologique plutôt qu’à interroger les fondements structurels de l’injustice.











