J’allais persister dans mes accusations raisonnables et objectives contre la Caisse de Dépôts et de Développement (CDD), voir indexer les plus hautes autorités supérieures, notamment la Présidence et la Primature de laxisme, si cette institution n’avait pas finalement décidé de corriger le disfonctionnement et de mettre fin à l’outrage du drapeau national qui avait continué à se manifester dans son précédent état piteux avant de disparaitre aujourd’hui.
C’est plutôt un drapeau flambant neuf qui flotte ce samedi 10 juillet courant sur le siège de la CDD faisant oublier la grosse erreur laissée par le drapeau déchiré, sale et incomplet qui était là.
Ainsi vaut mieux tard que jamais comme il est bon de reconnaitre le tort et de rectifier le tir au lieu de persister dans la faute.
Espérons que les autres administrations publiques et privées tirent les leçons qui s’imposent de ce type d’erreur et d’autres fautes graves commises au vu et au su de tous par le service public sans se soucier de dénonciateurs et de conseillers de bonne foi, appelés par leur conscience à attirer l’attention sur ce qui grippe pour des gouvernants non vigilants.