Après le récent appel promotionnel, déjà médiatisé en Mauritanie, concernant notre projet de centre culturel mauritanien à Paris, je récidive et en appelle solennellement à son Excellence Monsieur MOHAMED O.MCHEIKH EL GAZOUANY, Président de la République Islamique de Mauritanie afin qu’il décide de bénir et soutenir mes projets d’envergure internationale et d’intérêt national, et aussi à son Ministre de la Culture, Monsieur AHMED O. DIé à qui j’avais remis un courrier en mains propres lors de sa dernière mission à l’UNESCO, au sujet du projet du centre culturel mauritanien à Paris, trois jours durant j’étais avec la délégation du ministère de la culture à l’UNESCO, j’ai fait traduire le discours du ministre en le faisant publier dans la presse mauritanienne, bénévolement, sans réponse à ce jour.
Un courrier du même style a été adressé à Monsieur M.S O. MERZOUG, Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des mauritaniens de l’étranger dont je fais partie…
J’éxorthe aussi nos représentations en France, l’Ambassade de Mauritanie et la délégation permanente à l’UNESCO à plus de solidarité nationale et de proactivité pour m’accompagner et me soutenir afin de réussir, ensembles, à faire exister nos si importants projets pour l’image extérieure de notre pays car une seule main n’applaudit pas et ce souhait est inscrit dans les termes de référence de leurs missions respectives…
Je lance aussi un appel vibrant à nos potentiels mécènes mauritaniens et à ceux des pays amis de la Mauritanie pour soutenir et concourir à la naissance mondiale de la jeune photographie mauritanienne à Paris en France et à la création du centre culturel mauritanien à Paris, INCHAALLAH!
Les 57 révélations de Mauritanie
C’est le titre de mon projet d’expo-photo et de Livre Photo-Textes. Guy Lequerrec, grand photographe de l’agence MAGNUM à PARIS a visité la Mauritanie dans les années 1970, il a rencontré mon Feu Père à Cansado Nouadhibou, Port Etienne à l’époque. Il l’invite chez nous, Guy, alors photographie notre famille et publie un article dans Jeune Afrique en 1971 intitulé « La famille la plus prestigieuse de Mauritanie ».
J’avais 10 ans. J’ai été puissamment impressionné par ce grand photographe et son attirail, venus d’ailleurs, au point que dès qu’il fut parti, j’ai demandé à mon Feu Père de m’offrirun petit appareil photo, Déclic!, j’ai donc commencé petit gamin , à immortaliser tout ce s’offrait à moi, en plus des hasards de la vie qui ont fait que je suis devenu le photographe “officieux” et bénévole de l’ex président de Mauritanie, Maaouya O’Taya, il ne m’a jamais donné un ouguiya mais il m’a toujours offert une place de choix dans ses délégations visitant l’interieur de notre pays et là j’ai pu capter, à l’envi, beaucoup d’images; le président et sa délégation en action régionale, les personnages de la Mauritanie profonde, la faune, la flore, le désert, etc … Si bien que j’ai accumulé 270 pellicules en deux ans que j’ai pu faire exfiltrer de Nouakchott à Paris par un ami diplomate étranger.
Aujourd’hui, j’ai la ferme intention d’exploiter ce patrimoine-là pour illustrer l’image extérieure de mon cher pays et pour, entre autres, faire naître la jeune photographie mauritanienne dans mon exil en France et devenir ainsi l’unique photographe mauritanien de France et de Navarre et peut-être d’Europe, InchaAllah!
J’ai l’ambition d’exposer mon travail à l’Institut du Monde Arabe car je connais son président, le sieur Jack Lang, à l’UNESCO où j’expose mes toiles chaque année depuis cinq ans dans le cadre de l’évènement annuel Africa Week, ce qui m’a valu une belle relation avec la Directrice Générale de l’UNESCO, Mme AUDREY AZOULEY, à qui j’ai offert une de mes oeuvres éxposée-là, qui est désormais entrée dans le patrimoine artistique de l’UNESCO, faisant de ma modeste personne, le seul artiste mauritanien à avoir eu cette chance d’être reconnu par l’UNESCO.
J’exposerai mes photos et toiles à la galerie du jour d’Agnès B, grande créatrice et personnalité forte de la Mode française que je connais personnellement et enfin à la Maison Européenne de la Photo que je dois démarcher, et dans tous les évènements liés à la photographie ; le mois de la Photo à Paris, le festival rencontres photographiques d’ARLES, le festival VISA pour l’image avec lequel je suis en contact dans cette perspective. Là où le bas blesse c’est que je n’ai pas les moyens de mes ambitions mais je compte sur la générosité du Grand Architecte de l’Univers et sur la bonté solidaire de tout humain qui lira cette auguste requête.
En effet, 30.000 € suffiraient à ce projet pour développer 270 pellicules, les numériser, faire faire professionnellement l’Editing pour en tirer 57 photos ou plus, les encadrer, éditer le livre photos-textes. En ajoutant à cette somme 5% d’imprévus (logistique, communication, etc…). Les noms et qualités de toute personne morale ou physique, ou institutions ayant contribué à la réalisation de projet, seront visibles dans la communication de ce futur projet de naissance de la jeune photographie mauritanienne à PARIS, ville de mon exil.
Merci Infiniment, Cordialement, Merci d’avance pour votre précieux soutien à mon projet photo…
M. Mael Aïnine Sidi Ethmane
22, rue Duranton 75015 PARIS
[email protected]
00 33 (0) 7 8 55 10 49
maelnemacherif.wixsite.com/anc1
Association Caravane des Echanges Culturels et Artistiques Internationaux(C.E.C.A.I)
IBAN: FR77 2004 1000 0143 6607 0J02 032
BIC: PSSTFRPPPAR
Photo de Guy Lequerec en 1971
C’est la photo qui a illustré l’article de Guy Lequerec, “La famille la plus préstigieuse de Mauritanie”, paru dans Jeune Afrique en 1971, de l’eau a coulé sous les ponts depuis cette date…
Selection des photos planche contact
Selection des photos planche contact de 4 pellicules dévellopées gracieusement par l’Agence MAGNUM à la demande de Guy Lequerec.
Quelques clichés de 4 sur 270 pellicules qui attendent de nous livrer “leurs secret”…
Ces pellicules sont développées gracieusement par l’agence Magnum à la demande de Guy Lequerec…
Un joueur de TBEL(tam tam) pour l’arrivée de l’ex-Président, quelque part dans la Mauritanie profonde…
Jeune femme mauritanienne, fan de l’ex pésident…
L’ex-Président de la Mauritanie boit du lait de chamelle à son arrivée dans le désert…
Une femme saisie d’émotion à l’approche de l’ex président
O.Taya, ex-président de la Mauritanie au sommet de sa gloire.
Après avoir été déposé par un coup d’état ourdi par son “gardien”, O.TAYA est désormais réfugié au QATAR.
Deux élèves de la Mahadra, école coranique nomade inscrite désormais au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO.
Un élève de la Mahadra, école coranique nomade inscrite désormais au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO.
Deux fillettes mauritaniennes inséparables comme le blanc et le noir de l’œil, unité nationale oblige , ainsi promue…
Jacques Chirac, Paix à son âme, a posé pour moi lors de sa dernière visite à ATAR en ADRAR, mes 270 pellicules encore muettes livreront"leurs secrets", une fois la contrariété materielle résolue par votre élan solidaire, entre autres…
J’étais photographe officieux et bénévole de l’ex-président O.TAYA, son directeur de cabinet de l’époque le sieur LOOLEYD O. WEDDAD pourrait témoigner, en son âme et conscience, que je n’ai jamais profité des largesses de sa “CAISSE NOIRE"contrairement à certains journalistes et autres"journaleux” qui en plus, faisaient, sous le soleil ardent du désert, du traffic d’influence et “raquettaient” les ministres et les Walis dans toutes les étapes de l’itinéraire régional de la délégation présidencielle, sous mes yeux de photographe attentif à son environnement…
Ceci étant, la présidence m’a toujours offert une place de choix dans toutes les délégations auxquelles j’étais officiellement convié, une voiture du protocole qui suivait celle du président, était à ma disposition, c’était chic de la part du Dir Cab…
A Boutilimit dans la région du Trarza, l’ex président O.TAYA m’a reçu en audience pour me proposer d’être son photographe officiel, au bout de deux ans de bénévolat au service de la présidence qui m’ont servi à comprendre et analyser ce qui se tramait autour de moi, en termes politiques et de gouvernance…
Offre que j’ai allègrement et poliment déclinée, en lui montrant, sortie de ma poche, froissée, sa photo officielle prise par un photographe étranger qui a du coûter cher au budget de la présidence, en disant doctement au président, ce photographe s’est moqué de vous, de moi et de la Mauritanie, bien que vous soyez photogénique, les deux branches de l’étoile de notre drapeau étaient hors champs de la photo et cela voudrait dire, en termes de communication politique que vous ne maîrisiez que les deux cinquièmes de notre pays, là torchon commençait à brûler, avant que son directeur du protocole n’arrivasse pour clore l’entretien, j’en ai profité pour lui rappeler notre échange, naguère, à Paris à propos du projet du centre culturel mauritanien à Paris, ce qui était la raison première de ma présence à Nouakhott, en insistant sur le fait qu’il avait “oublié” ce projet, après cet “incident diplomatique”, j’étais devenu “persona non grata” à la présidence… J’ai donc dû repartir à Paris avec plein d’anecdotes et de notes qui nourriront mon projet de livre qui s’intitulera “Ma propre traversée de mon désert”, INCHAALAH; j’ai confié toutes mes pellicules à un ami diplomate français qui me les a exfiltrées et livrées à Paris et depuis ce temps, je les traîne avec moi partout où je nomadisais à Paris, bien protégées, et aujourd’hui, elles vont généreusement et artistiquement nous livrer leurs secrets, INCHAALLAH!
Quand je visite mon ami et frère, Son Excellence DAHA O.TEYSS à son bureau à l’ambassade de Mauritanie à Paris et que j’observe la photo officielle de notre président actuel, outre qu’il est, MachaAllah, trés photogénique, l’étoile de notre drapeau national est, cette fois-ci au niveau de son oreille droite, ce qui, en termes visuels de communication politique, illustre bien qu’il est bien à l’écoute du peuple mauritanien… Ceci dit en passant, c’est juste un avis modeste d’un oeil professionnel de la sémiologie de l’image…
Contact
M. Mael Aïnine Sidi Ethmane
22, rue Duranton 75015 PARIS
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