
Depuis quelques semaines, comme une symphonie de mauvais goût, certains Mauritaniens — de l’intérieur comme de la diaspora, et issus de toutes les communautés — s’évertuent à qualifier notre pays de pays d’apartheid. Ce terme, bien que choquant, n’est pas nouveau : il fait partie du vocabulaire de quelques mouvements politiques depuis plusieurs années.











