Tamouhi-Ebchir, oui ! Je suis entrain de suivre, avec la plus grande attention — et un soupçon de scepticisme — le discours de S.E. la Ministre de l’Action sociale, de la Famille et de l’Enfant, Mme Safiya Mint Ntehah, lors du lancement de la fameuse plateforme *Tamouhi-Ebchir*. Une initiative, sans aucun doute, louable à plusieurs égards.
La majorité des Mauritaniens expriment un fort soutien à l’action climatique, bien que seuls trois sur 10 parmi eux déclarent être informés sur le phénomène particulier des changements climatiques, selon les résultats de la plus récente enquête d’Afrobarometer.
World Vision Mauritanie a présenté son bilan 2024 à Nouakchott : nutrition, accès à l’eau, éducation, autonomisation des femmes et plaidoyer en faveur des enfants vulnérables.
Lorsque le professeur Ely Mustapha rend public son « livre blanc sur la drogue en Mauritanie », il n’agit ni en pamphlétaire ni en moraliste. Il agit en universitaire, en citoyen éclairé, en veilleur. Ce texte dense, documenté, place la société mauritanienne devant un angle mort que peu osent nommer. Il s’agit de l’expansion souterraine du trafic de drogue et de ses résonances institutionnelles, sociales et morales.
Le conseiller du Wali Monsieur Hamet Niang a procédé aujourd’hui, au lancement de la journée portes ouvertes organisée par le Comité d’Orientation et de Suivi (COS) du Grdr Guidimagha.Cette journée est organisée ce mercredi 18 juin 2025, à la maison des jeunes de Selibaby en présence du vice président du Conseil Régional M. Taleb Ould Moustapha, du Hakem de la Moughataa de Selibaby M. Mohamed Ould Abdellahi, de l’adjoint au Maire de Selibaby M.
Une première en Mauritanie : la création d’une boutique en ligne entièrement dédiée aux femmes, ici comme ailleurs, pour mettre en lumière leur talent, leur créativité et leur capacité d’innovation.
La Coordination des Associations culturelles de langues a exprimé dans une déclaration rendue publique ce vendredi 23 mai 2025, sa vive préoccupation face au débat qui agite depuis quelque temps l’opinion nationale, à propos du statut des langues en Mauritanie.
Mesdames et Messieurs les dirigeants et membres du Conseil d’administration de Aurora, très estimés invités, distingués Nobel, Pulitzer et récipiendaires des Nations-Unies, honorable assemblée !
Aujourd’hui, les Haratines refusent l’appartenance obligatoire à une identité dominante qui ne les a jamais pleinement reconnus. Ils refusent d’être assignés à une place subalterne dans un récit national qui les marginalise. Ce refus n’est ni un rejet de la nation, ni une volonté de division : c’est une affirmation de dignité.