
En 1965, alors que bien des capitales africaines hésitaient encore, Nouakchott a fait un geste qui a surpris. Reconnaître la République populaire de Chine. Un pari diplomatique signé Moktar Ould Daddah. Ce choix a ouvert la voie à un partenariat qui dure depuis six décennies. Soixante ans plus tard, les poignées de main et les photos de célébration ne suffisent plus. Le moment est venu d’évaluer sans détour. Qu’avons-nous bâti avec Pékin ?











