Il était une fois les services secrets marocains se croyant capables de convaincre la communauté internationales de la prétendue nationalité sahraouie du contrebandiste malien Omar Sidahmed Hamma.
Cette coupe du monde a changé l’histoire des nations. Et c’est rien de le dire. Le Qatar et le Maroc ont démenti toutes les prévisions, tous les calculs mathématiques et réduit au silence toutes les critiques. Et les mamans ont eu la reconnaissance à laquelle elles ont droit.
« Il n’y a pas de crise maroco-française. Aujourd’hui, il y a le besoin de rénover et d’adapter cette relation », a indiqué Nasser Bourita lors du point de presse organisé ce vendredi avec son homologue française.
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a quitté Nouakchott, dimanche soir à destination de Washington (Etats Unis d’Amérique) pour participer aux travaux du sommet américano-africain.
Le football se joue parfois sur des détails. Ce quart de finale de Coupe du monde entre l'Angleterre et la France n'échappera pas à la tradition. Lorsque le capitaine des Three Lions, Harry Kane, se présente face à Hugo Lloris à la 84e minute pour un deuxième pénalty, alors que les Bleus mènent 2-1, les hommes de Didier Deschamps peuvent déjà se projeter sur une prolongation. Il n'en sera finalement rien.
L’équipe du Maroc a entamé ce quart de finale, le premier de son Histoire, avec la prudence requise surtout que l’adversaire dispose de talentueux attaquants capables de faire la différence à tout moment.
Au fil des minutes, le Portugal impose une domination du terrain mais sans efficacité en dépit de deux occasions qui ont percuté la transversale.