Élu dès le premier tour avec 52,01 % des voix, Mohamed Ould Ghazouani, ancien Ministre de la Défense, entre en fonction le 1er août 2019 en tant que Président de la République islamique de Mauritanie.
Le président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), l'ancien ministre Mohamed Vall Ould Bellal, a appelé à la rénovation, la réhabilitation et l’extension des prisons, afin de faire front à la corruption généralisée qui se répand dans le pays.
Ould Bellal a lancé cet appel à travers un court poème en langue populaire hassaniya ( Tal-a « 4 alexandrins » et Gav « plus que 4 »), posté sur sa page Facebook.
Le Collectif des Cadres Mauritaniens Expatriés (CCME) organise une conférence virtuelle sur le thème : « La Mauritanie dans l’ère Post-Covid-19 : Quel modèle de développement ? Enjeux et perspectives ».
Quel est le statut juridique d’un ancien Président de la République ? Bénéficie-t-il d’une immunité pour des actes accomplis dans le cadre de l’exercice de la fonction présidentielle et si, oui, quelle est la nature et quelles sont les limites de cette immunité ?
Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, Président de la République a participé, jeudi matin, à un panel de haut niveau à l'initiative de Jean-Claude Junker, ancien Président de la Commission Européenne, pour appuyer la mise en place d'un nouveau partenariat entre l’Afrique et l’Europe.
Le ministre de la Défense nationale, président en exercice du conseil des ministres de défense du G5 Sahel, M. Hanenna Ould Sidi, a supervisé, hier mercredi 15 juillet courant à Nouakchott, au nom du Président de la République, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, président en exercice du G5 Sahel des Chefs d’État des pays membres du G5 Sahel, la sortie de de la 2ème promotion du collège de défense du G5 Sahel.
Le président du tribunal de la région Guidimakha, le « magistrat » El Vadil Baba Ahmed et son célèbre négociateur de faux procès au plus offrant (le samsara), Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine, ont encore frappé sans pitié en toute impunité. Ils abusent de l'appareil judiciaire entre leurs mains depuis plusieurs années sur du faux et usage de faux.
Les députés qui préparaient la procédure à même d'instaurer une Haute cour de justice (HCJ), seule à même de juger l'ex-président Mohamed ould Abdel Aziz, selon la loi fondamentale mauritanienne, ont suspendu leurs travaux. Une décision très critiquée, dans un climat politique tendu.
Plus de 200 questions fondamentales qui devaient être soulevées par la commission d’enquête parlementaire (CEP) à l’ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, à son audition, initialement prévue le jeudi 9 juillet courant, et à laquelle, il s’est absenté, ont été révélées à l’opinion.
A bientôt un an de sa prestation de serment, le président mauritanien, Mohamed Cheikh Ould Ghazouani, peine à solder l’ère de son prédécesseur et compagnon d’armes, Mohamed Abdel Aziz, qui présida aux destinées de cette improbable contrée, coincée entre le Maroc et le Sénégal, pendant 11 ans, suite à un coup d’Etat en août 2008, validé par une élection et une réélection en 2009 et en 2014.