Autrice et philosophe, originaire d’Étagnac, Blanche de Richemont est au cœur d’un documentaire, « Mauritanie : à la rencontre des Femmes du désert » en ligne sur le site d’Arte et diffusé sur la chaîne, ce lundi (NDLR 18 mars, à 12h25).
La Charentaise a arpenté les immensités désertiques à la rencontre des femmes. Un travail à partir de ce point de vue est inédit. Ce film est réalisé par Augustin Viatte et produit par Doclandyard.
La critique salue la qualité du documentaire diffusé sur la chaîne franco-allemande. Le Figaro par exemple, sous la plume de Frédéric Picard, a été ému de découvrir le regard de Blanche de Richemont sur « les âmes essentielles de ces terres arides ».
Mohamed Saleck Brahim présente le documentaire
L’écrivaine, voyageuse et productrice de documentaires française Blanche de Richemont explore la vie dans les sables en allant à la rencontre de multiples modèles de femmes dans les villes et campagnes de la wilaya de l’Adrar, réputée par son relief montagneux, ses oasis de palmiers et ses beaux repères touristiques, où l’authenticité et la modernité cohabitent dans la culture des communautés locales fort anciennes.
"Mauritanie : à la rencontre des femmes du désert", tel est le titre d'un nouveau documentaire réalisé par Blanche de Richemont, auteure du livre « Éloge du désert », et réalisé par Augustin Viatte.
Il a été diffusé pour la première fois sur la chaîne culturelle européenne Arte hier, 18 mars 2024.
La journaliste Capucine Graby a écrit à son sujet dans le magazine français Le Point : «La Mauritanie, pays étonnant, sur lequel on ne braque pas assez les projecteurs, qui se lance dans des combats solides qui sont couronnés de succès. Notamment l'insécurité : le désert mauritanien est devenu le plus sécurisé du monde".
Puis la journaliste poursuit en commentant ce documentaire en disant : «Un mouvement est incontestablement en marche dans ce pays qui regrette souvent d'être « oublié » et « isolé » sur la scène internationale.
«À la rencontre des femmes du désert est un film extrêmement esthétique, presque ésotérique, dont les images léchées nous embarquent dans une Mauritanie sublime, entre les oasis de Terjit, M’Hairith, Maaden El Ervan et la célèbre Chinguetti, surnommée par les occidentaux "La Sorbonne du désert"
J’étais habillée comme un homme (Photo avec turban)
J’étais habillée comme un homme quand je suis partie à la rencontre des femmes du désert. Puis j’ai découvert auprès d’elle une puissance dans la féminité que j’ignorais.
Aujourd’hui sur Arte, Les Femmes du désert en Mauritanie. Partez à la découverte d’un nouveau souffle venu des sables.