C’est une première dans les annales de l’histoire de la démocratie mauritanienne, particulièrement au niveau de l’hémicycle parlementaire, : la majorité présidentielle vote contre la volonté du Chef de l’Etat, du gouvernement et du parti au pouvoir et fait avorter leur cher projet de révision constitutionnelle, suscitant un élan de compliments et de félicitations chez l’opposition et l’opinion publique pour avoir, une fois n’est pas coutume, consac