Présentation de Contre Tout, Un mariage Halal  par son Auteur | L'Information

 Présentation de Contre Tout, Un mariage Halal  par son Auteur

dim, 08/05/2018 - 21:56

 La Romance romantique que j’ai choisie, comme contribution par la plume,  à la lutte légitime du peuple palestinien, afin d’accéder à son indépendance,  reste un scénario fictif, une simple vue de l’esprit...

Toute sa comédie tragédienne a été circonscrite territorialement, aux frontières de la Palestine historique, et, entièrement soumise aux seuls préceptes et contours de la légalité islamique de Mariage Halal. Les scènes de son tableau s’inscrivent donc, toutes, dans cette logique ayant comme principe de base, les droits liés au mariage en Islam.

Encore, une fois, et je ne le dirais jamais assez, il s’agit d’une littérature narrative, racontant la naissance et la vie d’un couple, islamiquement, bien marié, et qui, en dépit de tout, tient vraiment à relever tous les défis.

Et c’est justement la confrontation, entre d’une part, ce sentiment noble, qui unit deux êtres, un palestinien et une israélienne, que pourtant, tout sépare, et d’autre part, la puissance arrogante de feu et du fer israéliens, qui m’intéresse, m’intrigue...

Philosophiquement parlant, c’est ce rapport de force opposant la partie Humaine de l’Homme à sa parie bête, son côté ange à son côté diable, bref, le Bien au Mal, qui me passionne, me stimule pour écrire…

C’est aussi, probablement, ce genre de suspense qui est amême d’inciter à la recherche de l’épilogue, du dénouement, un cyber-lecteur, de plus en plus anonyme et paresseux, NTIC aidant, surtout, qu’il est, de moins en moins, disponible pour la lecture du papier.

Le rôle de l’héros, vous en doutez, c’est-à-dire du Bon, du Meilleur, et ce n’est que justice minimale, est attribué à la résistance nationale palestinienne et, à ce binôme d’acteurs époux, Mahmoud et Ingrid, qui sont aussi, tous les deux, nos frères d’Islam, puisque elle y était déjà convertie, depuis les USA, bien avant de le rencontrer.

Ce binôme du Bien (héros), a été légitimement et volontairement angélisé par l’ouvrage; lui, presque un ange, elle, presque une sirène du Saint Paradis.

En revanche, la diabolisation de l’anti-héros n’exigeait de ma part, aucun effort particulier, puisque le colonisateur est diable d’essence, car il est inhumain, faute d’avoir un cœur.

Ce sale boulot d’anti-héros, comprenez de méchant, de lâche, d’avare, de barbare, d’inhumain, revient de droit à l’occupant sioniste. Il y est, doublement, représenté par le binôme du Mal, le général Benyamin de l’armée de l’air et le capitaine Lévy du Mossad.

 

En Palestine occupée, comme vous le savez, les scènes d’amour se juxtaposent avec  les états d’agonie environnants et quotidiens.  Ici, la vie, plutôt la survie, et la mort se côtoient.

Ici, la barbarie semble dépasser l’imaginaire et atteindre ses ultra-extrêmes limites. De l’apogée de sa violence et de sa haine, et de leur déluge, il ne pouvait plus venir que le beau temps, celui de l’amour.  De toutes les façons, ici, les populations civiles, n’ont plus grand-chose à craindre, elles n’ont plus rien à perdre….

Comme si, grâce à ALLAH, c’est du néant, que leur salut allait venir, allait se refaire…

Comme si, l’océan du sang et des larmes palestiniens annonçait, par sa haute marée rouge et ses puissantes vagues, le calme maritime, et pourquoi pas, le printemps des cœurs…

Comme si, de la dense obscurité du désarroi total et du désespoir, il ne pouvait jaillir qu’une lueur d’espoir, et pourquoi pas, une romance romantique !

Comme si, la mort ne pouvait donner, que la vie (résurrection)…

Comme si, Contre Tout, Un Mariage Halal prédisait  l’imminence de l’indépendance de la Palestine, symbolisée sur sa couverture, par ce cheval (pur-sang arabe) en galops, franchissant, un après l’autre, comme cet amour peu ordinaire, les obstacles qui le séparent encore de sa liberté et de son épanouissement.

Comme si, je rêvais...

Au réveil, je me dépêche d’implorer, de solliciter, ALLAH, mon CREATEUR, LE TOUT PUISSANT, MAITRE  de l’univers, des cieux, de la terre et de la mer, LE GENEREUX et MISERICORDIEUX, de me pardonner tous les mots inappropriés, parfois trop descriptifs, tous mes péchés et toutes mes fautes, qui, je le reconnais et je l’avoue, sont légion.

Amine.

Mohamed Ahmed Ould Baba Ahmed Ould Salihi  (MABAS)